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Peut-on augmenter le QI des élèves ?

Comment est-on arrivé au test du QI? Un peu d’histoires
En 1890 pour mesurer les différences d’aptitudes entre les étudiants, l’américain Mc Keen Cattel utilise un test. C’est la première fois que le terme de « mental test » est employé.

Au début du 20ème siècle, l’État français s’inquiète de l’échec scolaire. Il fait intervenir Alfred Binet et Théodore Simon, pour élaborer une méthode afin de détecter les élèves faibles scolairement. C’est alors que le premier véritable test d’intelligence (1905) est mis au point. Celui-ci mesure l’échelle métrique de l’intelligence : il s’agit d’une estimation du degré de développement intellectuel de l’enfant. C’est certainement la méconnaissance de ces travaux qui a fait que l’on attribue, à tort, le test du QI à Alfred Binet.
 
Le nom de « Quotient intellectuel » a été inventé en 1912 par l’Allemand Wilhelm Stern. S’il s’est largement inspiré des travaux d’Alfred Binet, le test du QI ne reste utilisable qu’aux enfants, et non pas aux personnes d’âges adultes.

Le test évaluant « l’intelligence » des personnes adultes a été créé en 1939 par l’américain David Wechsler. Pour construire son test, David Wechsler utilise la mesure par rang (cette mesure utilise la loi normale de Gauss). En fait, même si on est loin du test du QI de Wilhelm Stern, le terme de « quotient » est malgré tout conservé.
Comment le QI a-t-il été popularisé
Deux événements ont contribué à mettre de l’importance au QI, et de le populariser. Le premier a lieu en 1961. Au cours des 3 jours du service militaire, un jeune travailleur agricole « presque illettré» obtient un résultat au test du QI très largement supérieur à la moyenne.
 
En seulement 5 ans, ce jeune travailleur agricole obtient son diplôme d’ingénieur, et poursuit ses études avec un doctorat. Cette histoire a fait grand bruit. Elle est amplifiée en 1963 par un second événement : celui d’un jeune enfant, au QI exceptionnel, qui réussit à décrocher le bac à l’âge record de 13 ans et demi.
Comment est construit le test du QI ? Le QI classique et le QI par rang
Le QI classique (appelé aussi « QI en âge mental ») est un rapport entre l’âge « mental » que donne le résultat du test sur l’âge réel. Le résultat de ce rapport est multiplié par 100. Par exemple un enfant de 10 ans ayant les mêmes résultats que la moyenne des enfants de 12 ans a donc « douze ans d’âge mental » . Son un QI est de 120 = (12 / 10) x 100.
Le QI par rang (ou QI standard) correspond au rang auquel se situe une personne relativement à la population. La population est représentée par une courbe normale en cloche (encore appelée courbe de Gauss).
 
Au moment de leur conception, les tests sont étalonnés pour que les résultats suivent approximativement la courbe en cloche (1).
Historiquement, les tests du QI fixent la moyenne à 100. Mais, l’écart-type (2) varie selon les tests et les pratiques. S’il est le plus souvent fixé à 15 (on parle alors de QI standard) l’écart-type peut varier de 16 à 24. C’est ainsi que les résultats, et les moyennes qui y sont extraits ont une appréciation, et une évaluation différente d’un examinateur à l’autre, voire même d’un pays à l’autre.

99,74% : 99,74% de la population a un quotient compris entre 55 et 145
2,14% : 2,14% de la population a un quotient compris entre 130 et 145

Il ne faut, donc, pas perdre de vue que le quotient intellectuel ou QI est, avant tout, le résultat d’un test psychométrique. Croisé, et corrélé avec un examen psychologique on obtient un étalonnage, plus qu’une mesure, encore approximative de l’intelligence. Bref ! faire une évaluation basée uniquement sur le résultat du test du QI n’est pas vraiment pertinent. C’est la raison pour laquelle nombre de spécialistes en psychologie critiquent la seule prise en compte de la notion du QI.

Qu’est-ce que l’intelligence ?
Le QI ne mesure que certaines aptitudes logico-mathématiques par rapport à la moyenne de la population. Même si intuitivement on peut s’en douter, les chercheurs s’accordent pour dire que même si le QI est un indicateur intéressant l’intelligence est présente sous plusieurs formes. N’empêche, avoir un QI supérieur à la moyenne facilite grandement les choses.

En essayant de comprendre pourquoi des enfants pouvaient être en échec scolaire, et en quoi ceux-ci pouvaient être tout aussi intelligents que les autres, 1983 dans son livre « Frames of Mind: the Theory of Multiple Intelligence » (3), Howard Gardner identifie 7 formes différentes d’intelligence : verbale/linguistique, visuelle/spatiale, musicale/rythmique, mathématique/logique, interpersonnelle/relationnelle, kinesthésique/corporelle. Aujourd’hui il est commun de rajouter une autre forme d’intelligence, à savoir l’intelligence intrapersonnelle qui est la capacité à avoir une bonne connaissance de soi-même.

En 1995, le psychologue Daniel Goleman développe le concept d’intelligence émotionnelle qui aboutit à définir le QE (le quotient émotionnel) sorte de successeur du QI. (4)

La définition de l’intelligence selon Darwin et de Piaget
Voici une autre façon de percevoir l’intelligence:

« Les espèces qui survivront ne sont ni les plus fortes ni les plus intelligentes, mais celles qui auront su s’adapter à leur environnement. »
Charles Darwin.

« L’intelligence, ça n’est pas ce que l’on sait mais ce que l’on fait quand on ne sait pas. »
Jean-Piaget.

Faut-il être un « premier de la classe » pour réussir ?
Des études ont montré que le QI n’intervenait qu’environ pour à peine 20% de la réussite professionnelle. Enfin les cas d’entrepreneurs n’ayant obtenu aucun diplôme sont suffisamment nombreux, parmi les plus célèbres : Richard Brandson (Pdg de Virgin), Steve Jobs (P.-D.G. d’Apple), Antoine Ribou fondateur du Groupe Danone, Bill Gates (qui n’a pas de diplôme universitaire).
 
Plutôt  une question d’aptitude que d’intelligence
À l’image de ces réussites est-ce que cela veut dire que l’on peut se passer de diplômes, que l’école et les études sont inutiles ? Bien sûr que non. Il serait faux et dangereux de croire cela. À ne pas oublier que quand même 98% de ceux qui ont réussi dans leur profession ont fait des études. Les exemples de ces entrepreneurs sans diplôme montrent simplement que ce qui compte avant tout ce sont les aptitudes. Chez les entrepreneurs à succès, tous ont le goût de la prise de risque, tous ont eu une vision juste de l’évolution de leur marché, tous savent anticiper les besoins de chaque segment de clientèle.
 
Quelles utilités des études ? Elles permettent avant tout de révéler, et de développer ces aptitudes. Steve Job a suivi des cours à l’université, surtout en typographie au Reed Collège où il était un élève appliqué et passionné. De son propre aveu, c’est ainsi qu’il a pu développer, et perfectionner son aptitude pour le design et la beauté du graphisme ce qui fait aujourd’hui la force et l’originalité d’Apple et de ses produits. Et, le diplôme ? Il est une forme de reconnaissance, une condition indispensable pour faire reconnaître ses aptitudes lorsque l’on n’a encore rien prouvé dans la vie professionnelle.
Des aptitudes différentes selon l’orientation
Les aptitudes nécessaires pour réussir varient selon l’orientation choisie et le métier exercé. Il n’y a pas de meilleures aptitudes que d’autres. Par exemple, un prix Nobel de physique aura bien du mal à devenir un bon entrepreneur, et vice-versa, un entrepreneur à succès, tel que Steve Jobs par exemple, ne peut pas devenir un prix Nobel.

Comment fonctionnent les neurones dans le cerveau ? Quel rôle joue la taille du cerveau ?
 
Le cerveau bouge, il n’est pas figé. Des milliards de connexions neuronales se font et se défont. Le cerveau est, ce que l’on appelle, plastique. Cette découverte va à l’encontre de la croyance tenace, qui a perduré des décennies, selon laquelle le cerveau était figé. Rien n’est plus faux. Le cerveau est adaptable, et il réagit à notre environnement. Toute perception, toute action, toute adaptation a un impact sur notre cerveau. En permanence les cellules sont activées ou désactivées ; des milliards de neurones collaborent.
C’est-à-dire que l’intelligence n’est pas quelque chose de donné à la naissance. Elle peut évoluer. Comment faire évoluer son intelligence, augmenter ses capacités intellectuelles ? En apprenant. Plus le cerveau apprend de nouvelles choses, plus les capacités augmentent. Et cela, à tout âge.

Ce qui compte finalement ce n’est pas la taille du cerveau : le cachalot possède un cerveau 8 fois plus gros que celui de l’homme. Ce qui compte c’est sa structure et la masse du corps calleux (5). Là l’homme ne peut être égalé.

Le développement cérébral de l’être humain commence dans le ventre de la mère durant la grossesse. Mais ce n’est qu’après la naissance que le cerveau s’active pour faire fonctionner les différents organes. Ensuite, il continue de se développer pendant les six premières années de sa vie, lorsqu’il atteint l’âge de 6 ans. En outre, l’environnement, la famille et la culture auront un effet sur la maturation du cerveau humain, en raison de sa grande plasticité.

Le cerveau d’Einstein : plus petit que la moyenne
Le cerveau d’Einstein n’était pas spécialement gros, il était même plus petit que la moyenne. Mais comparé aux autres hommes de son âge (26 ans) le cerveau d’Einstein avait un corps calleux bien plus développé que la moyenne, c’est ce qu’a découvert la scientifique Dean Falk (6). C’est ainsi que les hémisphères droits et gauches du cerveau d’Einstein étaient mieux connectés avec un cortex préfrontal plus développé (7).

L’anatomiste Paul de Broca avait pu calculer et constater une différence entre le poids moyen d’un cerveau de l’homme (1325 g) et celui de la femme (1124 g).
 
Évidemment devant un tel constat il est coutume de franchir le pas et de déclarer que les hommes sont plus intelligents que les femmes. Il faut bien se garder de telles conclusions, car elles sont fausses. L’intelligence chez l’être humain n’est pas fonction du volume de son cerveau. Einstein avait un cerveau d’une taille de 10% inférieure à la moyenne, tout comme Anatole France.
 
Ce qui compte le plus ce n’est pas tant le nombre de neurones ou la taille du cerveau que le nombre et la densité des contacts entre ces mêmes neurones. Ces contacts, ces jonctions entre les neurones sont appelés « synapses ».

Chez l’être humain, la quantité de neurones se fixe dès la vingtième semaine de grossesse, pour atteindre les 100 milliards. Ensuite les connexions synaptiques vont évoluer au cours de la vie d’enfant et d’adulte : celles qui ne sont pas utilisées vont disparaître, et d’autres, plus sollicitées, vont se créer et se développer.
 
Cela ne veut pas dire que les adultes ont plus de contacts synaptiques que les jeunes enfants. Au contraire ces derniers ont une densité bien supérieure (environ 95% fois plus). C’est d’ailleurs pour cette raison que les enfants ont plus de facilité d’apprentissage, de mémorisation. Cela montre que le cerveau évolue tout au long de la vie.
Quand le cerveau change
Une des plus grandes découvertes sur le cerveau est qu’il est capable de changer, il est capable d’évoluer. Les connexions neuronales ne sont pas figées. Bien au contraire. Le cerveau est en perpétuel mouvement. Les capacités cognitives, de concentration, et de mémorisation peuvent donc évoluer. C’est la plasticité du cerveau. Voici plus de détails sur le sujet dans les 3 vidéos suivantes sur le fonctionnement du cerveau.

Qu’est-ce qui permet au cerveau de stimuler son évolution autrement dit, sa plasticité ?
C’est l’expérience et l’activité. En clair : plus nous sommes confrontés à des expériences à des activées nouvelles et variées, plus nous apprenons ce qui permet d’intensifier de nouvelles connexions synaptiques qui se ramifient, et donc la plasticité de notre cerveau se développe. À l’inverse, l’ennui, la routine, l’inactivité réduisent la stimulation des connexions synaptiques. Étant moins sollicitées, certaines sont détruites. C’est ainsi que l’esprit se fait moins vif, l’agilité intellectuelle plus difficile.

On comprend mieux combien il est absurde de croire que l’agilité intellectuelle ou l’intelligence (qui est un phénomène bien complexe que ne laisse à penser un test de QI) serait un phénomène purement génétique.
Le QI peut évoluer (8)
Le QI n’est pas figé. Il peut évoluer dans un sens (un accroissement) comme dans un autre (une régression). C’est ce qu’a montré une étude réalisée en 2011.(9)

Cette étude a été menée sur 2 groupes de 33 adolescents : un groupe en début d’adolescence (avec des QI variant de77 à 135), et un second groupe en fin d’adolescence (avec des QI variant de 87 à 143).

L’activité cérébrale des deux groupes de jeunes a pu être observée sous IRM.

Dans chaque groupe de jeunes, certains ont pratiqué des activités  censées stimuler l’intelligence. D’autres non.

Ainsi, il a été constaté des changements de score de QI pouvant passer de -20 à +23 pour la partie verbale du test du QI est de -28 à 17 pour la partie  non verbale.
L’étude IRM du cerveau de chaque groupe de jeunes a montré une chose intéressante : l’augmentation du QI était étroitement corrélée à une augmentation de la densité corticale, et du volume des régions cérébrales impliquées dans les fonctions verbales et motrices.

Le développement les liens sociaux chez les adolescents augmente le QI 
Suite ces résultats surprenants de cette étude,  l’équipe de Sarah Cassidy, docteur en psychologie à l’université de Nottngham, réalise deux expérimentations sur des groupes d’enfants de 11 à 12 ans, et de 15 à 17 ans. (10)

Ces groupes de jeunes ont suivi un programme d’entrainement censé développer leur aptitude sociale (comme la résolution de conflits, reconnaissance  différences chez autrui, etc.).

Conclusion : une augmentation significative du QI de près de 23 points en moyenne a pu être constatée (voir le tableau).

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Comment développer et encourager la plasticité du cerveau et donc l’agilité d’esprit de vos apprenants ?
1 – Faites travailler les sens
Pas besoin de vouloir devenir un as des mathématiques. Il suffit déjà de faire travailler ses sens. Entraînez vos élèves à visualiser des objets, des situations, à ressentir des émotions, à percevoir les sons dans les lieux de calme.

À vos élèves droitiers encouragez-les à de faire certaines choses de la main gauche, comme d’inverser leur stylo de main. Si vous êtes enseignants d’EPS, demandez aux élèves de tirer dans un ballon du pied gauche, de tenir une raquette de la main gauche. Faites la même chose pour les gauchers. Cette gymnastique des sens pour stimuler certaines zones cérébrales devient courante aux États-Unis, et porte le nom de « Neurobic ».

2- Multipliez la diversité des activités créatives dans votre enseignement
Encouragez vos élèves à s’engager dans des activités associatives, sport, jeux… L’important est que ces activités presque de loisirs soient les plus créatifs possible.

3 – Utilisez les histoires (le « storystelling » en anglais) pour exposer un concept, une théorie
Le fait de « romancer » des concepts, des idées, les rendent plus réelles par le cerveau. Pas besoin d’inventer de grande histoire. Commencez par des métaphores simples par exemple.

Utilisez la formule « c’est comme, c’est pareil que; Je me souviens de mon professeur d’économie qui nous faisait comprendre le concept de « trésorerie d’une entreprise. Il nous l’expliquait ainsi.

« C’est pareil que de dire argent sur votre compte en banque, fric, oseille, cash, etc. Sauf qu’utiliser le mot trésorerie vous rendra plus intelligent. Vous aurez alors plus de chances d’obtenir, auprès de votre banquier, le crédit que vous demandez .»

4- Encouragez l’empathie et le lien social 
 
Suite à l’expérimentation de l’équipe de Sarah Cassidy, plus vous encourager le développement du lien social, plus vous renforcez les capacités de vos apprenants. Comment ? En leur apprenant à reconnaître la différence chez les autres. Les intelligences multiples ou les profils d’apprentissage (oui, je sais, je prêche pour ma paroisse) sont des outils que vous pouvez utiliser dans ce sens.
 
5. La pratique de langues étrangères  
 
Bien entendu, la pratique de langues étrangères ne peut être que bénéfique. Encouragez vos élèves à faire des séjours linguistiques. La psychologue canadienne Ellen Bialystok a pu constater que les individus qui maîtrisent plusieurs langues étrangères ont une meilleure agilité intellectuelle. (12)

Références

[1]. La courbe de gauss est normalement représentative de la population. Les sondages se basent sur cette courbe : interroger 1000 personnes donnera environ 95% de l’opinion d’une population (d’où les fameux 1000 personnes interrogées représentatives de la population, et la marge d’erreur). Dans le test du QI, les questions sont donc ajustées, et étalonnées en fonction de la fameuse courbe en cloche. Comment ? À savoir que la grande majorité doit répondre aux 3/4 des questions (d’une difficulté moyenne), et une minorité ne répondra qu’à 1/4 seulement (d’une difficulté faible), une autre minorité répondra à presque toutes les questions, dont celles qui sont les plus difficiles!


[2] L’écart-type sert à mesurer la dispersion. Par exemple, si la moyenne d’une classe est de 11 avec un écart type faible, cela veut dire qu’une grande majorité d’élèves ont des notes proches ou égales à 11. Le niveau de la classe est homogène, bref presque tout le monde a le même niveau. Si l’écart type est important un nombre significatif d’élèves peuvent avoir 17 sur 20, et d’autres 5 sur 20. Très peu d’élèves auront une note autour de 11 sur 20. La classe est hétérogène, c’est-à-dire que le niveau des élèves est très différent.

[3] Le livre a été publié en français en 1997 sous le titre « Les formes de l’intelligence » Éditions Odile Jacob.

[4] Notes de l’éditeur « L’intelligence émotionnelle. Accepter ses émotions pour développer une intelligence nouvelle. » Notre destin est-il inscrit dans notre quotient intellectuel ? Pas du tout, si l’on en croit Daniel Goleman, pour qui la notion habituelle d’intelligence néglige un aspect essentiel du comportement humain : nos émotions. Une bonne nouvelle : chacun peut améliorer son intelligence émotionnelle puisant dans les découvertes récentes de la biologie et de la psychologie, Daniel Goleman analyse les raisons pour lesquelles un QI élevé peut être un handicap, et la maîtrise des émotions un atout. Self-control, persévérance, motivation, respect d’autrui, aisance sociale sont quelques-unes des compétences qui définissent cette intelligence  » autre  » : l’intelligence émotionnelle. À la différence du QI, l’intelligence émotionnelle n’est pas donnée une fois pour toutes. Bien au contraire : chacun de nous peut l’améliorer, pour peu qu’il apprenne à reconnaître et à utiliser l’ensemble de ses émotions.

[5] Le corps calleux est la jonction la plus importante entre les hémisphères gauche et droit du cerveau. Il est situé au centre et vers le bas des deux hémisphères.

6] Dean Falk Frederick E. Lepore Adrianne Noe “The cerebral cortex of Albert Einstein: a description and preliminary analysis of unpublished photographs” Brain, Volume 136, Issue 4, 1 April 2013, Pages 1304–1327 (revue de l’université d’Oxford). https://academic.oup.com/brain/article/136/4/1304/356614

[7] Pour étayer ses recherches, en 2013, Dean Falk a analysé 14 photographies inédites du cerveau d’Einstein.

[8] William R. Klemm Ph.D. “No, Your IQ Is Not Constant” The implications are profound. Pyschlogy Today le 27 mai 2018. : https://www.psychologytoday.com/us/blog/memory-medic/201805/no-your-iq-is-not-constant

[9] Ramsden S1, Richardson FM, Josse G, Thomas MS, Ellis C, Shakeshaft C, Seghier ML, Price CJ. Verbal and non-verbal intelligence changes in the teenage brain. Nature. May 17. Doi:10:1038/nature10514. : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22012265

[10] SarahCassidyaBryanRocheaDylanColbertaIanStewartbIan M.Greyc A relational frame skills training intervention to increase general intelligence and scholastic aptitude – Avril 2016, Pages 222-235 // scienceDirect –  https://doi.org/10.1016/j.lindif.2016.03.001

[11] Tirus, Starbrink, and Jansson “Relational Frame Theory, Mathematical, and Logical Skills

“International Journal of Psychology and Psychological Therapy – Volume 16 Num. 2 – June 2016 – https://www.ijpsy.com/volumen16/num2/439.html

[12]  Ellen Bialystok, Fergus I.M. Craik, and Gigi Luk  Bilingualism: Consequences for Mind and Brain – US National Library of Medicine avril 2013 – https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles.